À la fin d’une enfance et d’une adolescence difficile, Laurence Biberfeld passe et obtient le baccalauréat en candidate libre. À la suite, elle réussit le concours pour devenir institutrice. Elle quitte l’éducation nationale en 1999 pour se consacrer à l’écriture.
En 2002, elle publie son premier roman La B.A. de Cardamone. Elle raconte l’histoire d’une marginale, Lisa, battue par son ancien compagnon et dont le nouvel ami, éducateur auprès des jeunes en difficulté, est assassiné. Elle aide alors le commissaire Machin à mener l’enquête sur ce meurtre. Son troisième roman, La Vieille au grand chapeau se déroule dans le milieu du travail clandestin. En 2009, elle participe à l’aventure du Poulpe avec On ne badine pas avec les morts. Selon Jean-Marc Laherrère et Claude Mesplède « L’originalité de Laurence Biberfeld consiste à raconter des histoires qu’on n’a jamais lues nulle part. Elle sait parler du quotidien en créant des personnages comme on peut en croiser tous les jours, mais elle le fait toujours avec une préoccupation romanesque soutenue par une écriture efficace et crue, qui conjugue dureté et humour cinglant sous la forme de savoureuses formules ».
Également dessinatrice, elle illustre en 2012 le livre d’Abdel Hafed Benotman, Coco.
À la fin d’une enfance et d’une adolescence difficile, Laurence Biberfeld passe et obtient le baccalauréat en candidate libre. À la suite, elle réussit le concours pour devenir institutrice. Elle quitte l’éducation nationale en 1999 pour se consacrer à l’écriture.
En 2002, elle publie son premier roman La B.A. de Cardamone. Elle raconte l’histoire d’une marginale, Lisa, battue par son ancien compagnon et dont le nouvel ami, éducateur auprès des jeunes en difficulté, est assassiné. Elle aide alors le commissaire Machin à mener l’enquête sur ce meurtre. Son troisième roman, La Vieille au grand chapeau se déroule dans le milieu du travail clandestin. En 2009, elle participe à l’aventure du Poulpe avec On ne badine pas avec les morts. Selon Jean-Marc Laherrère et Claude Mesplède « L’originalité de Laurence Biberfeld consiste à raconter des histoires qu’on n’a jamais lues nulle part. Elle sait parler du quotidien en créant des personnages comme on peut en croiser tous les jours, mais elle le fait toujours avec une préoccupation romanesque soutenue par une écriture efficace et crue, qui conjugue dureté et humour cinglant sous la forme de savoureuses formules ».
Également dessinatrice, elle illustre en 2012 le livre d’Abdel Hafed Benotman, Coco.