Pierre Mikaïloff est écrivain et critique musical. Il nous offre un bonheur de lecture au format Polaroid, à l'exacte intersection de ses talents : un texte à l'humour grinçant saupoudré du glamour de Paul et Linda McCartney.
Sylvia Cagninacci a frappé fort avec son premier roman. Sa déflagration est inversement proportionnelle à son ampleur : le roman est court, mais Ange et Noëlle, les amoureux maudits, et le petit Dominique, nous hantent pour longtemps.
Michel Abescat a lu « Des rires de hyènes », de Marion Brunet. Extraits.
Le premier roman de Dominique Chevallier paraîtra le 16 septembre. A la satire mordante, qui fait mouche à chaque ligne, s'ajoute l'élan romanesque apporté par l'héroïne, qui nous aspire dans son sillage. Personne n'eût espéré lire avec gourmandise un roman qui a pour sujet le « vieux monde » de la politique. Voilà bien ce que l'on nomme un cygne noir.
Truculent. Spirituel. Rythmé. Racé.
Le roman de Charles Lesage ne dédaigne pas l'étiquette : c'est un western. L'histoire se déroule comme il se doit au milieu du XIXème siècle, sur des terres américaines livrées aux appétits individuels et aux rêves, plus ou moins naïfs, des aventuriers européens partis chercher fortune.
Nos livres connaissent des vies multiples, oui oui. Souvent, l'édition originale n'est que le premier visage d'une oeuvre destinée à des existences secondes. Le duo formé par Magalie Delobelle et Elsa Misson (Agence So far so good) permet à nos écrivains de passer les frontières par le biais de traductions, voire de conquérir les écrans via les adaptations audiovisuelles. In8 se charge par ailleurs de leur inventer un avenir en poche, pour être toujours plus accessibles au lectorat.